» …. Mais encourager les options c’est consommer des moyens, alors que B Bobkiewicz précise que les moyens pour appliquer la réforme sont insuffisants. La solution est vite trouvée : il suffit de réduire l’offre de spécialités. « On était arrivé à un grand nombre de triplettes. Si un lycée va vers 20 triplettes proposées c’est pas mal « , déclare P Mathiot. « On a un lycée très onéreux.. Il y a dans certains lycées une façon de concevoir la réforme pour poser des triplettes au risque de bouffer la DHG. Si dans un lycée on réduit l’offre de triplettes on reste dans l’esprit de la réforme et on regagne des moyens sur la DHG à condition que les professeurs acceptent de modifier leur emploi du temps ». « Si chaque établissement n’a pas toutes les spécialités ce n’est pas très grave », acquiesce B Bobkiewicz (nouveau secrétaire général du Snpden-Unsa,)
Cela n’annonce rien de bon pour la spécialité NSI. Un certain nombre de Terminale spécialité NSI ont un effectif réduit. Avec des DHG réduites la fermeture semble inévitable. NON ! nous devons réagir.